C’est vraiment la fin de notre belle saison (il n’y a plus de saison, d’ailleurs …) et les 3 semaines à venir vont vous permettre de conclure, allégrement et passionnément, ce thème si actuel et si anxiogène de la CRISE
On ne pouvait en effet éviter ni l’approche économique ni le regard politique sur un pareil sujet !
Nous avons donc choisi d’achever notre année de réflexion tous azimuts avec 2 spécialistes de ces questions qui nourriront opportunément les débats et les controverses…
Venez nombreux (la salle Jean Bouise peut accueillir 250 personnes) avec vos convictions, vos questions et vos critiques….
Au TNP(Villeurbanne) petit Théâtre : cours gratuits sans inscription ni adhésion
2 cycles de conférences-débats, en prise directe sur l’actualité :
Économie / F. Bessis – 3 séances (Salle J. Bouise) de 19h à 21h
Les économistes: une profession en crise dans un monde en crise
Lu03/06 Quelle responsabilité des économistes dans la crise ? Lu10/06 Une crise de la science économique ? Lu17/06 Une profession en crise ?
Science politique / P. Corcuff- 3 séances (Salle J. Bouise) de 19h à 21h
Crises intellectuelle, morale et politique à gauche
Ma04/06 Crise des valeurs et des conceptions de l’humain à gauche Ma11/06 Culte de l’immédiateté et crise de visions de l’histoire dans les gauches Ma18/06 La gauche est-elle en état de mort cérébrale ?
Au Comoedia, en partenariat avec l’UNIPOP, le mercredi 5 juin à 20h, séance UNIQUE
» La Saga des Conti »* France. 2013 – 1h37. Documentaire de Jérôme Palteau avec Xavier Mathieu. en présence du réalisateur
Débat animé par Sophie Béroud, Membre d’ATTAC, maître de conférences en science politique à l’université Lyon-II. Ses domaines de recherche couvrent la sociologie du syndicalisme et des mouvements sociaux
Billets en prévente aux caisses du cinéma à partir du jeudi 29 mai 2013.
La saga des CONTI (synopsis) Le 11 mars 2009, les 1 120 salariés de l’usine de pneumatiques « Continental » de Clairoix reçoivent leur lettre de licenciement. Bien que sonnés par ce cataclysme, ceux que l’histoire retiendra sous le nom des « Conti » sont immédiatement habités d’une certitude : celui qui se bat n’est pas sûr de gagner, mais celui qui ne se bat pas a déjà perdu. Entre manifestations publiques et intimité, des ouvriers racontent et portent un regard pertinent et lucide sur leur travail, la société, la crise… A pied, en train, en voiture, forts de leur mobilisation contre la stratégie financière d’une multinationale, ils écrivent une page d’histoire sociale.