Fin de CRISE… à L’Unipop

1- Au TNP (Villeurbanne, métro Gratte-ciel), les 3 derniers cycles de cours (entrée libre, sans adhésion ni inscription)

  • PsychobiologieNeurosciences/ D.Bret – 3 séances de 19h à 21h

Psychobiologie: le cerveau et l’esprit (suite et fin)

Neurosciences: stupéfiants et addictions

Lu13/05        (Salle J. Bouise) Morphines endogènes : endorphines et enképhalines
Ma14/05        (Salle J. Bouise) Autres addictions : jeux, sexe et virtuel
Ma21/05        (Salle J. Bouise) Douleur, analgésiques, soins palliatifs…

 

  • Économie/ F.Bessis – 3 séances (Salle J. Bouise) de 19h à 21h

Les économistes: une profession en crise dans un monde en crise

Lu03/06        Quelle responsabilité des économistes dans la crise ?
Lu10/06        Une crise de la science économique ?
Lu17/06        Une profession en crise ?

 

  • Science politique / P.Corcuff– 3 séances (Salle J. Bouise) de 19h à 21h

Crises intellectuelle, morale et politique à gauche

Ma04/06        Crise des valeurs et des conceptions de l’humain à gauche
Ma11/06        Culte de l’immédiateté et crise de visions de l’histoire dans les gauches
Ma18/06        La gauche est-elle en état de mort cérébrale ?

 

2- Au Périscope-13 rue Delandine,69002, métro Perrache-

Le dimanche 19 mai à 17h

Le Cabaret Poétique (entrée libre + adhésion 2€)

Cabaret Poétique 21

3-Au Comoedia, en partenariat avec l’UNIPOP, le mercredi 5 juin à 20h, séance UNIQUE

les conti

  » La Saga des Conti »* France. 2013 – 1h37. Documentaire de Jérôme Palteau avec Xavier Mathieu. en présence du réalisateur

Débat animé par Sophie Béroud, Membre d’ATTAC, maître de conférences en science politique à l’université Lyon-II. Ses domaines de recherche couvrent la sociologie du syndicalisme et des mouvements sociaux

Billets en prévente aux caisses du cinéma à partir du jeudi 29 mai 2013.

La saga des CONTI (synopsis)
Le 11 mars 2009, les 1 120 salariés de l’usine de pneumatiques « Continental » de Clairoix reçoivent leur lettre de licenciement. Bien que sonnés par ce cataclysme, ceux que l’histoire retiendra sous le nom des « Conti » sont immédiatement habités d’une certitude : celui qui se bat n’est pas sûr de gagner, mais celui qui ne se bat pas a déjà perdu. Entre manifestations publiques et intimité, des ouvriers racontent et portent un regard pertinent et lucide sur leur travail, la société, la crise… A pied, en train, en voiture, forts de leur mobilisation contre la stratégie financière d’une multinationale, ils écrivent une page d’histoire sociale.