2014-2015

1. On n’est pas des sardines ! La pénible adaptation de l’architecture aux évolutions sociales

La chambre des parents, celle des enfants, salon, cuisine, salle de bain. Les logements sont fabriqués comme si la famille du XIXème siècle déterminait encore la société. Pourtant, le vieillissement, les étudiants, la mobilité professionnelle et géographique, les divorces, ont fait exploser l’uniformité des modes de vie. Tout invite à repenser l’espace de l’intime, les partages choisis, le voisinage, les… En savoir plus →

2. Rénovation urbaine : l’espace public comme « problème » de la rencontre

Les quartiers populaires sont le reflet de contradictions de la société : créer de la mixité sociale dans des quartiers où des dizaines de langues sont parlées ? Créer des relations de voisinage en cloisonnant les pieds d’immeubles et en retirant les bancs de l’espace public ? Penser les circulations en fonction des enjeux de sécurité, voire d’intervention policière ? Non, le renouvellement urbain… En savoir plus →

3. Le texte et la trace du corps : le problème de l’ « absence » dans le théâtre et la philosophie épisode 2 avec Grégoire Ingold

Salle Jean Vilar avec Grégoire INGOLD, metteur en scène et comédien textes lus Vilar (l’art du théâtre) : extraits                     Vitez : De l’acteur                     Descartes :  Méditation seconde En savoir plus →

3. Hygiène de l’habitat : discipline du propre, discipline sociale ?

L’hygiène a progressé avec la médecine au XIXème siècle, mais immédiatement, elle a été utilisée politiquement, pour affirmer des formes urbaines, des conditions d’habitat, qui assuraient la prééminence des codes de la bourgeoisie urbaine sur le reste de la société. Suivent cent cinquante ans de valse serrée, entre marginalité sociale et hygiène médicale, altérité et saleté, qui interroge  à la… En savoir plus →

1. Ode au gras. Corps et chairs dans la peinture.

Ce cours invite à goûter le débordant, l’abondant et le dodu des corps féminins dans la peinture des XVIIe et XVIIIe siècles. Des divinités plantureuses de Pierre Paul Rubens aux voluptueuses odalisques de François Boucher, corps et chairs s’entrelacent et les peintres dévoilent la volupté et la beauté de la femme. Une vision parfois crue, mais sensuelle, toujours. Ode au… En savoir plus →