3 comments for “Les paradoxes de la logique informatique 1.”

  1. Tout le monde utilise Internet ?
    Je voudrais préciser ma remarque de la dernière fois.

    Quand on dit que 70% des gens utilisent Internet, cela comprend aussi ceux qui l’ utilisent au travail.
    Quand on fait des statistiques sur Internet à la maison, c’ est moins.

    Internet n’ est pas gratuit (300 euros par an, et pour certains c’ est un cinquième de mois) ; de plus, il faut un ordinateur, et on doit renouveler ce matériel souvent.

    Parfois, il n’ y a pas de place (certains élèves doivent travailler dans la cuisine le soir).
    Si il y a ce qu’ il faut à la maison, il peut être monopolisé par le père ou le grand frère.
    Quand on est enseignant, on s’ aperçoit vite que quelques (10% ) élèves n’ ont pas accès à Internet chez eux, et – même si on l’ utilise pour ceux qui l’ ont – on ne peut pas se baser sur le postulat que « tous l’ ont » (au risque d’ exclure encore plus ceux qui ne l’ ont pas, ce qui est déjà le cas !).

  2. L’étude récente de Médiamétrie (http://www.mediametrie.fr/internet/communiques/2001-2010-de-16-a-38-millions-d-internautes-en-france.php?id=402) indique une très forte progression de l’usage d’Internet en France depuis 10 ans, ainsi qu’une réelle démocratisation. Certes, la fracture numérique existe toujours, mais elle a fortement diminué et je crois que chacun peut aujourd’hui constater que l’on connaît plus de gens qui ont accès à Internet que de gens qui ne l’utilisent pas.
    Internet n’est pas non plus gratuit et je persiste même à croire que les services que l’on nous propose comme étant gratuits ne le sont pas…
    Quand j’ai dit que tout le monde utilise Internet aujourd’hui, il fallait comprendre une très grande majorité de Français. Il reste en effet quelques exclus de la Toile, le plus souvent par nécessité économique, mais également quelques-uns par choix idéologique.

  3. image réalité ou illusion …
    je cueillais des cerises l’autre jour.
    je voyais des cerises mures ,d’autres moins.
    mais en les goutant la réalité éclatait elles étaient bien mûres !
    une photo aurait certainement donné des couleurs différentes; mais la comparaison des cerises aurait aussi déterminé lesquelles manger.
    en ce fait la réalité est conservée sur une photo et à travers mon œil de prédateur.
    cela ne remet pas en cause la réalité des modifications des photos publiées mais donne un espace de réalité dans un monde trafiqué

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